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         "Le formatage culturel m'a tuer"     moules, (anti-)conformisme et autres histoires de normes sociales      

 
 
Du formatage culturel au formatage social:
il n'y a que l'OMBRE d'UN pas.
 
 
 
 
En empruntant un parcours artistique et culturel,
​
Cette conférence dessine comment un système s'érige comme norme,
anesthésiant les individus
et toute forme de contestation.
Comment ce schéma se décline dans toutes les infrastructures sociales,
les moindres rouages du quotidien.
On tente de comprendre ces modes de fonctionnement
ont pour but de systématiquement dépolitiser
tout ce qui pourrait ébranler ou gêner le "bon fonctionnement" des choses.
​
Du "chuis con j'ai rien compris"
du spectateur qui subi
au
"Casse toi pauv' con"
d'une domination par le mépris
on voit comment l'inconnu et/ou ce qui dérange
est automatiquement mis à la marge
pour retourner au conformisme social
​
Mais pas que:
​
On y parle donc de récupération
et de détournement culturel
 d'esthétique et de politique,
d'instrumentalisation de l'art
et de domination par élitisme intellectuel
de résistances
et de subversion face aux normes...
​
plus généralement
des multiples et nouvelles formes
de censures & d'anesthésies sociales
 
Cette conférence soutient également l'idée que
  l'expérience esthétique (des sens)
peut être un des vecteurs de déformatage et ainsi un levier de contestation
en invitant le spectateur à récupérer ses propres armes:
son esprit critique par le "partage du sensible"
& sensations dans l'expérience de TOUS les arts
(concerts/art contemporain/théâtre...)
​

Comment le formatage culturel détruit la force subversive de l'art ;

Comment la censure réapparaît sous des formes déguisées ;

et s'insinue dans les plus petits méandres de notre quotidien...

​

comment les institutions nous anesthésient au sens fort du terme,

c'est-à-dire nous privent de sensations ;

comment l'expérience esthétique constitue une forme de résistance

et de retour vers le bouillonnement de la vie ;

comment une docteure-chercheure en art,

à force d'être marginalisée par l'institution universitaire,

préfère aujourd'hui se définir comme :

"bidouilliste de l'art", "gitane de la vie"  et saltimbanque de la bricole

​

Une conférence drôle et instructive, sportive et artistique, politique et subversive…

une conférence faite d'art et d'humour,
qui parle dans un combiné téléphonique,
qui explique avec des schémas,
qui dessine des systèmes,
et montre des images
ET
dotée d'un dispositif "presque" spectaculaire fait d'accessoires
et de post-it
​

Rien pour l'heure, n'hésitez pas à nous contacter, cette conf' tourne toujours ;)

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"Dimanche dernier, je suis allé au Lieu sans nom créé par Gilbert Tiberghien [...] pour découvrir une jeune docteure en esthétique donner une conférence gesticulée où elle mêle « savoirs froids théoriques » et « savoirs chauds tirés de son expérience » pour donner à voir le parcours chaotique de quelqu’un – elle – qui fait de l’engagement authentique sa ligne de vie. Bluffé par autant d’énergie, de subversion intelligente et d’authenticité à fleur de peau, [...].

L’écouter parler, c’est le remède garanti à l’anesthésie molle qui gangrène le corps social et précipite les désenchantés dans les bras d’un populisme aux fragrances nauséabondes".

​

Yves Kafka d’Inferno Magazine par Antoine Delage pour Happe:n

http://happen-bordeaux.fr/monsieur-h13/

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