Après une formation de plasticienne, je me suis orientée vers la théorie de l'art jusqu'au doctorat où j'ai tenté de déterminer ce qu'était, de façon transdisciplinaire, une œuvre d'art subversive aujourd'hui.

J'ai obtenu ma thèse « l'accident esthétique » en 2010 avec félicitations à l'unanimité.

 

Titulaire d'un doctorat en art et théories des arts, docteure en esthétique donc, après avoir pratiqué la recherche et été chargée de cours à l’université et en BTS, j'ai souhaité explorer une autre approche de la création artistique en devenant critique d'art - et plus particulièrement critique vivants et arts de la scène, où j'ai été correspondante région pour des webrevues parisiennes.

 

Je poursuis l'accompagnement et les conseils à la création artistique tout en développant des projets plus personnels et participants à d'autres au gré de mes convictions politique et intuitions artistiques.

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Toutes ces explorations artistiques et esthétiques m’ont permis de me forger un esprit éclairé et pointu d’analyse et de synthèse.

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Mes intérêts esthésiques m'ont très tôt incitée à l'interdisciplinarité et à aller expérimenter moi-même pour mieux comprendre ce qui se joue dans certaines formes de création.

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Façonnant par, avec et pour l'humain, l'art est, à mon sens, un puissant vecteur de liens et d'ouvertures de nouveaux possibles faisant vibrer la voix de feu Robert Filliou « l'art est ce qui rend la vie plus intéressante que l'art ».