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A propos de la  conférence
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2hOO (à géométrie sensiblement variable  mais 2h00 à tout casser)

A partir de 14ans - tout public (pas besoin de s'y connaître en arts)

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Formateurs: Franck Lepage & Thierry Rouquet           

Lieu: Landeleau  - Goutelas           

Année: 2015           

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atelier post conf': ATELIER D'ECRITURE d'éducation populaire

durée environ 2h00 + temps d'échange de retour d'expérience

- construire le singulier par et dans le collectif nécessaire)

- Méthodologie d'approche d'éducation populaire

(Formée par le GFEN)

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Consultez notre annuaire des conférences gesticulées par ici: 

http://www.conferences-gesticulees.net

"On est tous égaux face au partage du sensible!"

Jacques Rancière      

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Entre récupération de l’art et détournement culturel:

une conférence qui parle d’art et de politique, de résistance et de subversion et des multiples formes d’anesthésie sociale


Cette conférence retrace le parcours d’une docteure-chercheure qui interroge ce qui fait subversion dans l’art aujourd’hui.

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On y raconte donc comment les institutions anesthésient les identités singulières (la mienne, la tienne peut-être aussi) en passant par différents moules : des injonctions familiales aux normes éducatives, en passant par celles du travail, entre lissage des sens et canalisation de la penser, du « comment bien penser » au prêt à consommer...

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On  décortique la posture du spectateur, de son émancipation et des différentes postures de domination - comment récupérer son sens critique?

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Entre détournement, répression, récupération, enrayement du pouvoir subversif et neutralisation de l’art, on traverse les multiples terrains de recherche, identifiant et questionnant les différentes formes de contrôles dans une société faite de cases et d’étiquettes – Identifier, ça rassure.

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Anticiper, c’est éviter ce qu’éventuellement on ne maîtrise pas.

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Dans ce laboratoire gesticulé, on scrute à la loupe le virus artistique
celui subversif,
qui gratte le derme social
et qui dérange,
celui sournois et insidieux,
impétueux aussi
qui entend être là où on ne l’attend pas.

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Au milieu donc d'un détournement et d'une récupération pour une instrumentalisation afin d'asseoir une domination par l'art: et si donc l’expérience des sens et des sensations était une arme figure d’émancipation de réappropriation d’espaces de liberté et de sens critique ?

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Et si comme le disait Deleuze:

 

« l’art sert à libérer la vie que l’homme a lui-même emprisonnée » ?

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